Batteur coup de coeur : Omar Hakim
Après m’être replongé dans l’album Random Access Memories des Daft Punk, je suis à nouveau tombé amoureux du jeu d’Omar Hakim.
Omar Hakim
Age : 58
Nationalité : américain
Est connu pour : la liste incroyable d’artistes pour lesquels il a enregistré ; David Bowie, Michael Jackson, Miles Davis, Sting, Dire Straits, Daft Punk…
Pourquoi j’aime son jeu
Très épuré voire minimaliste, il n’y a pas une note en trop.
Plus que ça, il me fait voir le jeu au charleston et l’utilisation des ghost notes différemment : il sait vraiment faire groover un rythme avec juste quelques accents bien placés au charley.
Il est présent sur énormément d’enregistrements, mais c’est sur son travail avec les Daft Punk que je me suis plongé dernièrement.
Quelques perles
Giorgio by Moroder, et son final explosif
Touch
Beyond, ou la subtilité du Charleston prend tout son sens
Fragments of time, et son refrain hyper entraînant
Il paraît que pour l’enregistrement de ses parties (et notamment pour Get Lucky qui est devenu un ENORME tube) il faisait des jams dans le studio avec d’autres musiciens, sans savoir que ce sont ces parties là que les robots allaient décider de garder.
Belle découverte 🙂
Aurélien
Bourdon
ouè ouè j’adore ses parties dans la musique de Daft Punk , pour l’anecdote, ya une caisse claire Pearl à son nom, une 13 pouces..
Régis
Ce qui me plait en lui c’est qu’il n’est pas sectaire sur l’acoustique et l’électronique avec l’utilisation des V_Drum et autre..
Et bien sûr c’est un batteur super talentueux, j’aime beaucoup son style.
Aurélien
Salut régis,
Merci pour ton commentaire 🙂
Oui, son style tout en simplicité et bourré de groove est un plaisir.
Yannice
Oui et c’est aussi le nouveau directeur du département percussion de Berklee !
Damien G. DamZZmaD
C’est le batteur de CHIC, formation de Nile RODGERS, guitariste-chanteur (et encore plus…) sur Get Lucky notamment. Ca a du influencer le choix des casqués vu les automatismes des 2 protagonistes. Omar HAKIM aussi joué pour Madonna et le Weather Report, c’est pas rien…